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Cooking Up a Storm: Interview with Cook MS Trull
HMCS Malahat


Master Seaman Sarah Trull has been a Cook with the Naval Reserves for 11 years. “I started off at HMCS Prevost in London, Ontario. I was there for about five years and then caught a contract out west here in Victoria working on the ships. I did that for four years and then came to Malahat,” says MS Trull, “I was working in a kitchen in my second year of college, taking law courses and I wanted something completely different from what I was doing in school.”

Cooks are the foundation of any ship’s success, creatively working culinary magic to provide the nourishment and the joy that comes with a really good meal, allowing their shipmates to survive and thrive. “When you are sailing, food is kind of the main thing you have to look forward to; it is what keeps the morale up on long sails, so you have a lot of responsibility in keeping people happy. That said, you are only as loved as your last meal,” laughs MS Trull. Of course, this pursuit of deliciousness is balanced against the push for healthy eating in the forces. “You get like three or four really solid salads every day. I try to put out three salads for lunch and three different salads for dinner.”

People assume you have less resources while on ship so that must limit the range of a Cook’s abilities. However, this is clearly not true. In order to get fully trade qualified, “You have to put together a five course meal and it is for the CO, the XO and anyone else you want to invite. I made this really good miso braised duck and this entrée of three different types of sushi and made my own green tea ice cream,” says MS Trull, “I was already pretty good but the training has made me a really good cook and my friends appreciate it.”

When asked why she enjoys the military, MS Trull stated, “Mostly the camaraderie that you develop; it is unlike anything you have ever known in any other job. It can be stressful but you will bond with people in a way you really cannot anywhere else. Also, I have gotten to sail the west coast of the Americas and to jump out of helicopters into the ocean.”

To all those on the fence about becoming a Cook with the forces, MS Trull wants to remind you that, “When you are on a ship, it can be tough cooking enough for everyone to eat. It is worth it though, because afterwards you get to cook what you want to eat.”



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​Branle-bas de combat dans la cuisine : Entrevue avec le Matc Trull, cuisinière
NCSM Malahat


La matelot-chef Sarah Trull est cuisinière dans la Réserve navale depuis 11 ans. « J’ai commencé à bord du NCSM Prevost, à London, en Ontario. J’y suis restée environ cinq ans, puis j’ai décroché un contrat dans l’Ouest, ici à Victoria, à bord des navires. Puis, après quatre ans, je suis arrivée au Malahat », explique le Matc Trull. « Je travaillais dans une cuisine pendant ma deuxième année d’études postsecondaires. Je suivais des cours de droit et je voulais quelque chose de complètement différent de ce que je faisais aux études. »

Les cuisiniers sont à la base du succès de tout navire. Grâce à leurs tours de magie gastronomiques imaginatifs, ils fournissent la nourriture et la joie qui accompagnent un très bon repas, permettant à leurs collègues de bord de bien se nourrir et de bien se porter. « Quand vous naviguez, la nourriture est en quelque sorte la seule chose que vous attendez avec impatience; il est ce qui maintient le moral pendant les longs voyages. C’est donc un grand rôle à jouer dans le moral des gens. Et pourtant, votre popularité à bord dépend constamment du dernier repas que vous avez servi », affirme en riant le Matc Trull. Bien entendu, cette quête de saveurs est contrebalancée par le désir de manger sainement dans les forces armées. « Chaque jour, on présente trois ou quatre salades très complètes. J’essaie de préparer trois salades pour le dîner et trois salades différentes pour le souper. »

Les gens peuvent supposer que vous avez moins de ressources à bord d'un navire, ce qui devrait limiter les capacités du cuisinier. Cependant, ce n'est clairement pas vrai. Afin d’obtenir une qualification professionnelle complète, « il faut préparer un repas à cinq services pour le commandant, le commandant en second et toute autre personne que vous voulez inviter. J’ai fait un très bon canard miso braisé et trois types différents de sushis et j’ai fait ma propre glace au thé vert », raconte le Matc Trull. « Je me débrouillais déjà assez bien, mais l’instruction m’a transformée en une très bonne cuisinière et mes amis en profitent. »

Lorsqu’on lui demande pourquoi elle aime la vie militaire, le Matc Trull répond : « Par-dessus tout, pour la camaraderie qu’on y développe, incomparable à nul autre emploi. C’est un travail qui peut être stressant, mais on tisse des liens impossibles à reproduire ailleurs. J’ai aussi eu l’occasion de naviguer sur la côte Ouest des Amériques et de sauter dans l’océan à partir d’un hélicoptère. »

À tous ceux qui hésitent à devenir cuisiniers dans les forces armées, le Matc Trull tient à vous rappeler que « Lorsque vous êtes sur un navire, il peut être assez difficile de cuisiner pour tout le monde. Cela en vaut la peine, car vous cuisinez ensuite ce que vous voulez manger. »

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